Erreur N° 1 : Sous-estimer la surface du terrain assise de votre futur bâtiment.

En moyenne, un ratio de 1 pour 2 (comprenez 2000 m² de terrain pour 1000 m² de bâti) peut sembler optimal. Mais au-delà de ce nombre, il vous faut vérifier plusieurs points :

  • La disposition du terrain vous permet-elle d’implanter votre bâtiment et de circuler correctement ?
  • Les règlements de zone, le PLU (Plan Local d’Urbanisme) et votre possible rubrique ICPE (Installations Classées pour la Protection de l’Environnement) vous obligent-ils à un certain recul par rapport aux limites de propriété ?
  • Les places de stationnement, selon vos besoins et les règlements de zone, seront-elles en nombre suffisant ?
  • Les manœuvres des poids lourds et les mises à quai sont-elles possibles ?
  • Les surfaces végétalisées, souvent obligatoires et représentant un minimum de la surface construite, sont-elles respectées ?

Erreur N° 2 : Ne pas prévoir la surface nécessaire à votre expansion.

Quelle que soit la taille de votre bâtiment, prévoyez de la surface supplémentaire pour une extension future. Aborder le sujet avec votre contractant général dès le début du projet, permet d’optimiser l’implantation et d’anticiper le système constructif qui s’adaptera à votre évolution future.

Si vous avez envie de déménager au bout de 5, 8 ou 10 ans, oubliez ce paramètre !

Erreur N° 3 : Ne pas réaliser une étude de sol avant la signature d’un contrat de construction.

Que vous choisissiez de travailler avec un architecte, un maître d’œuvre ou un contractant général, vous devez impérativement réaliser ou faire réaliser par le contractant que vous allez choisir, l’étude de sol de votre terrain, prenant en compte les charges prévues sur les dallages, la voirie.

Cette étude, d’un coût faible par rapport à votre projet, vous fera économiser tous les aléas financiers liés aux fondations nécessaires. Vous saurez à l’avance la nature du terrain recevant les fondations et votre bâtiment. Cela vous permettra également de comparer objectivement les différentes offres qui vous seront proposées.

Erreur N° 4 : Penser que la réalisation d’une opération en Clés en main est plus chère et moins transparente qu’une opération en Maîtrise d’œuvre.

Le retour de nos clients, qui ont testé les différentes approches, confirme qu‘une économie générale de 10% est un minimum lorsque l’on travaille avec un contractant général. Et ce sans compter les coûts qu’engendrent d’éventuels retards d’exploitation, dus à une date de livraison non respectée. Le concept Design and Build se développe ainsi rapidement car il répond à des problématiques simples : être livré à temps, maîtriser son budget global, avoir une relation de confiance avec un interlocuteur unique, qui maîtrise le processus de A à Z, de la conception à la réalisation.

Erreur N° 5 : Ne pas vouloir déléguer l’ensemble de l’opération à un professionnel.

Comme dans le fonctionnement de toute organisation ou entreprise, souvent la clé de la réussite d’un projet passe par la délégation de tâches à des responsables. Il en est de même lorsque l’on souhaite construire son bâtiment. Il ne s’agit nullement de négliger votre implication, nécessaire dans toutes les phases de conception et sa phase contractuelle. Mais, un projet de construction Design and Build nécessite, pour le professionnel responsable de projet, une moyenne de 16 heures de travail par semaine. Imaginez ce temps gagné, que vous pouvez dédier au développement de votre business et rester concentré sur votre métier, sans parler de l’incidence financière qui en découle.

Vous avez déjà vécu ces expériences ou souhaitez être accompagnés pour votre futur projet, n’hésitez pas à Contacter SRBI. Nous mettrons tout en œuvre pour votre projet devienne une réussite pour vous et votre entreprise. À bientôt

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